touch me, so i think i'm here -- FINISHED { PEPPER ZEAL }

001 • Carte d'identité.

Nom :

Zeal, un nom assez peu commun, mais que Pepper aime bien (:

Prénoms :

Pepper Alice Coco Maria Cassidy, etc etc etc. Son nom est actuellement plus long que cela, donc contentons-nous de Pepper Alice.

Âge :

19 ans et des poussières.

Date & Lieu de Naissance :

Pepper a vu le jour le 16 juillet 1989, aux alentours de 10h26 du matin, dans la jolie petite ville de San Jose, en Californie.

Origine(s) :

Sa mère a des origines françaises et allemandes, mais elle est née aux États-Unis, alors que son père est danois. Pepper est donc américaine et danoise.

Profession :

Elle est photographe et parfois mannequin pour ses propres photos. Elle gagne quand même bien sa vie.

002 • Au fond de mon petit coeur.

• L'évènement qui me fit pleurer plus que possible :

Je ne pensais jamais que j'aurai à me rappeler de ça, mais bon, je me lance. C'était au mois de février 2007, je ne me souviens plus trop quel jour, mais bref. J'étais allée à la pharmacie chercher un test de grossesse, juste par précaution, car j'avais tous les symptômes. Ouaip. Et devinez quoi ? Eh bien, le test était positif. Je m'rappelle avoir manqué de souffle et avoir dit : «Oh, shit, oh, shit, holy shit.» Et ensuite, je me suis écroulée sur notre lit et j'ai éclaté en sanglot. Et c'est comme ça que Nicholas m'a trouvée, recroquevillée sous les draps, vers 11h 25, après avoir passé la journée au studi. «Hey, what's wrong, sweetie ?» m'a-t-il demandé. Je n'avais pas la force de lui dire, je me sentais si .. faible et stupide ! Je lui ai simplement pointé la salle de bain, où j'avais déposé le test sur le lavabo. «Okay ...» J'entendis ses pas juste qu'à la salle de bain. Il me semble avoir perçu un : «What the -- ?» de la part de Nicholas, et ensuite, silence. J'avais compris qu'il venait de voir la cause de tout mon cinéma. «Are you .. gonna keep it ?» Sa voix était pleine d'espoir, il était presque content, mais ... Malheureusement, la réponse était non ... «I was more thinking about having an abortion, y'know ? ...» Quoi ? Je n'allais certainement pas garder cet enfant, j'étais encore aux études, j'n'avais que dix-sept ans ! S'en suivit une engueulade pas possible entre moi et Nix, qui me la boucla après vingt minutes en me hurlant : «I DON'T WANNA TALK TO YOU ANYMORE ! GET OUT !» Les larmes aux yeux, j'ai fixé mon chéri en murmurant : «Nickie, don't ...» «Just leave, okay ? » m'ordonna-t-il. Je fis mes valises en vitesse et sortit de l'appart' en claquant la porte. Jamais Nicholas ne m'avait parlé de la sorte, c'était une première. J'ai passé la nuit chez mon meilleur ami, qui fut plus que surpris de me voir dans cet état et devant sa porte à minuit quatorze minutes. Je suis revenue une semaine plus tard, mais nous étions incapable de nous regarder dans les yeux sans qu'un malaise s'installe entre nous. Après plusieurs jours de réflexion intense sur la question, j'ai finalement gardé le bébé, pour ensuite le donner en adoption. Je crois que c'est le meilleur choix qui s'offrait à nous ...

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• L'évènement qui me remplit de joie :

C'était la nuit avant que je m'enfuie de la maison. J'avais décidé de la passer chez mon meilleur ami, car c'était l'une des deux personnes dont j'aurais le plus de difficulté à me séparer et je voulais que ce soit la dernière que je vois avant de quitter Santa Barbara. J'avais donc décidé de lui avouer ... Mais cette soirée fut sûrement la plus géniale de toute ma vie. Pas parce que nous nous éclations, non. C'était une soirée assez .. intime. Ses parents étaient absents et je voulais juste être avec Anthony, ne l'avoir qu'à moi toute seule. Devoir le quitter, après tout ce temps, me fendait le coeur. Cette plaie, d'ailleurs, ne s'est jamais totalement guérie.
Donc, nous écoutions un film, emmitouflés dans une couverture. J'avais ma tête appuyée contre son torse et, complètement inattentive au film, j'entendais les battements de son coeur, et ceux-ci brisaient le mien, car il devait faire cric, crac, crac plutôt que boum, boum, boum. Le film n'était qu'accessoire, d'après moi. Mais tout bon moment a une fin. Je suis partie vers deux heures du matin, et les adieux firents particulièrement diffciles. Je ne voulais pas m'extriper des bras d'Anthony, j'en étais tout simplement incapable. Je crois qu'Anthony aussi trouvait cela plutôt triste, car il pressait sa joue contre mon crâne et il prenait de gandes respirations. Et, un moment donné, j'ai senti des larmes sur ma tête. J'ai relevé celle-ci, et j'ai vu Anthony en train de pleurer. «Oh, darling ...» ai-je murmuré avant d'éclater en sanglots. La tristesse que j'avais à l'intérieur de moi est sortie d'un coup. Nous sommes restés entrelacés pendant au moins quinze minutes, si ce n'est pas plus. Ensuite, debout sur le proche, je pressai mes lèvres contre celles d'Anthony, le regada une dernière fois et tourna les talons. Je n'aurais pas pu demandé un plus bel adieu.

• Ceux que je n'ai pas choisis :

Commençons par le commencement. Je n'ai jamais connu mon père, car il abandonna ma mère alors que j'étais encore dans le ventre de celle-ci. Il n'a jamais essayé de reprendre contact. Selon moi, ils n'ont eu qu'une affaire d'un soir, alors qu'ils étaient saouls, puis plus rien. Pouf. Elle ne m'a jamais parlé, jamais montré de photos de lui, c'est comme s'il n'avait jamais existé. Lorsque nous avons déménagé à Santa Barbara, j'avais huit ans, et elle a rencontré un homme extraordinaire, Michael Laiho, un homme de trois ans son aîné. Il était tellement doux et .. gentil avec moi, c'est comme si j'étais sa propre fille. Je l'ai tout de suite adorée, je l'aimais même plus que ma mère. C'est affreux à dire, mais c'est la pure vérité. Ma maman ne m'a jamais vraiment montré qu'elle m'aimait, elle se foutait carrément de mon existense ! Je crois qu'elle n'a jamais voulu m'avoir. Elle voulait toujours faire la fête, et je l'en empêchais. Quand Mike est venu dans le portrait, il m'a donné tout l'amour que j'étais sensée recevoir de ma propre mère. Ça m'a fait du bien, de savoir que quelqu'un m'aimait et tenait à moi. Moi et Michael avions une relation différente de celle qu'il avait avec ma soeur, Delilah (l'enfant de ma mère et Mike). Ma mère préférait Delilah à moi, ça, c'est certain, et Mike le voyait. Mais je me suis toujours sentie exclue, et c'est pourquoi je me suis enfuie, à l'âge de seize ans. Destination : L.A.

• Celui que je chéris le plus au monde :

Nicholas Cobra ... C'est tout simplement l'homme de ma vie : il est formidable, merveilleux, incroyable, extraordinaire. Il n'existe pas assez de mots dans le dictionnaire pour décrire Nickie, par qu'il est indescriptible. Il n'est peut-être pas parfait -- en fait, si, il l'est, mais à sa façon. Malgré les malentendus, les engueulades et les désaccords que nous avons vécus, nous avons réussi à passer au travers, et je pense que c'est plus grâce à lui qu'à moi, vu mon tempérament parfois rancunier ... J'ai l'impression que d'être sa copine fait de moi une meilleure personne, parce qu'il est tout simplement un ange. Je me souviendrai toujours la première fois nous nous sommes rencontrés, dans ce club branché de Los Angeles. Il était venu s'asseoir à ma droite pour me dire : «Hey, y'know what ? Tomorrow, I'll be a very rich rockstar -- can I buy you a drink ?». Son manque total de modestie m'a tout de suite charmé, et c'est pour cela que j'ai accepté sa proposition. Je ne regrette absolument, mais absolument pas d'avoir dit ' oui ', car maintenant, j'ai la chance d'être l'amoureuse du garçon le plus merveilleux de la planète. Nickie, je t'aime !

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• Mon héros, mon modèle :

Le petit ami de ma mère, qui était Michael Laiho. C'était une personne formidable, qui croquait dans la vie, en ne se souciant que du moment présent. C'est une philosophie que j'essaie d'acquérir, mais c'est assez compliqué, de ne pas repenser au passé. Lui, il n'avait aucune difficulté. Je sais qu'il n'a pas eu une enfance très réjouissante et qu'il n'a pas fait sa vie comme il l'aurait voulu, mais comme il disait si bien : «So what ? You're happy, right now ? That's what's important» . Et il avait raison ! La vie est trop courte pour qu'on se morfonde en se disant : « J'aurais dû faire ci, j'aurais dû faire ça ». Cet homme-là m'a transmis l'unes des plus belles valeurs du monde. Par exemple, il ne faut pas avoir de regrets, car ceux-ci peuvent gâcher notre vie. On vit avec les conséquences de nos actes, okay, mais on passe à autres choses. Mike est un modèle de sagesse, je l'admire tellement ... Il me manque tellement ...

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003 • Le quizz du petit romantique.

A quoi est prêt votre personnage par amour ? A vous de nous le dire en remplissant ce petit quizz !

• Changer de pays et tout quitter ?

Ah ! quoi de mieux, mon ami ! J'adore voyager ! J'y suis déjà habituée, à cause des tournées de Nickie et son groupe de musique. Je pense que c'est le meilleur moyen de se changer les idées, d'enrichir sa culture, de faire de nouvelles connaissances. Et, personellement, la plupart du temps, lorsqu'on part, je pourrais partir avec rien. Tout ce que j'apporte sont les vêtements que je porte, mon sac à main, mon mp3 et mon portable. Mais Nicholas m'oblige à faire mes valises, sous prétexte qu'il n'a pas envie de me voir porter les même habits tous les jours. Mais, sérieusement, partir en France, en n'ayant qu'une robe sur le dos et des Converses au pied, j'aimerais bien.

• Renoncer à ses rêves ?

Bon, cela dépend toujours de quel rêve. Je dirais que j'ai quelques rêves farfelus et plutôt étranges. Par exemple, j'ai toujours voulu aller dans un hôpital et donner des ballons à des enfants atteints de leucémie, ou peu importe quel cancer. C'est un de mes plus grands rêves. Y renoncer ? Ouf, assez difficile. Mais j'en ai d'autre, comme celui de monter sur scène et chanter trois chansons de suite, dont je n'aurais aucun problème à ne pas réaliser. Car personnellement, me ridiculiser devant plus de 100 personnes, très peu pour moi. Enfin bref, il y a certains rêves que je serais prête à laisser tomber. Mais si c'est tous mes rêves, non mais, vous êtes dingue ?!

• Mentir à sa famille ?

Je n'entretiens plus aucun contact avec ma famille depuis mon départ plutôt abrupt. Je lui ai déjà menti de nombreuses fois, et c'était souvent pour me sortir du pétrin. Mais, mettons-nous en contexte : je suis encore très proche de ma famille et aucune fugue ne s'est produite. DONC, comme je disais, je n'aurai aucun problème à mentir aux miens, mais tout dépend du mensonge en question, encore une fois. Mais je crois que, en général, ouais, je serais prête à fabuler n'importe quoi. Je serais capable.

• Faire de la chirurgie esthétique ?

Quelle horreur ! Jamais ! J'aime absolument tout de moi ! Je suis une déesse de la beauté, nom de dieu ! Hahaha, sans blague. Non, mais qui voudrait changer une partie de son corps pour son bien-aimé ou sa bien-aimée ?! Si une personne nous aime, elle aime aussi tous nos petits défauts, autant ceux de notre personnalité que ceux de notre physique. Et si on ne lui convient pas, eh bien, que cet être monstrueux aille brouter de l'herbe ! Comme si changer notre nez, par exemple, augmenterait l'amour que cette personne éprouve envers nous ? C'est de la crotte de cheval, cette histoire ! De plus que les chirurgies esthétiques ne sont pas garanties sans séquelles ! Vive la beauté na-tu-rel-le !

• Se faire tatouer son prénom ?

Dépend sur quelle partie du corps ! Hahaha, non, sérieusement, je n'ai aucun problème à obtenir un tatouage, j'en ai déjà plus d'un. Une fois l'aiguille enfoncée dans la chair, la douleur est passé et on sait à quoi s'attendre. Une fois le travail fini et bien fait, car on ne sait jamais, on peut tomber sur le pire tatoueur de la galaxie -- en fait, bref, une fois la tatouage terminé, c'est ... assez satisfaisant, ouais. Mais pour en revenir à votre question, le prénom de mon amour tatoué, ça ne me fait rien, car c'est déjà fait ; un beau tatouage sur le rein gauche. (:

004 • Derrière l'écran.

( facultatif )

Prénom ou pseudo :

Mélie

Sexe :

i'm a chick !

Âge :

Treize ans

Présence sur le forum :

Tous les jours, ou presque.

Avatar :

Savannah Lynn/Acoustic